mardi 13 septembre 2011

SUR LE VIF

Après deux années de blogue j'en suis venu à trouver que ce média manquait de flexibilité et de spontanéité. La plupart du temps pour y écrire, j'attendais d'avoir le temps de pondre un article assez structuré, ce qui fait qu'il y a bien des choses intéressantes que je laissais passer, comme des liens utiles ou de courts commentaires sur le vif lorsqu'un sujet m'interpellait. J'ai donc décidé de créer une rubrique que je garderai en début de blogue et que j'archiverai périodiquement sur une page unique.


17h45  Par le biais de Vin Québec, encore de l'eau à mon moulin concernant l'inutilité de la notation précise des vins. Je serais curieux de voir les résultats si l'exercice était refait dans un mois, avec les mêmes vins et les mêmes dégustateurs, en trouvant une façon pour que ceux-ci soient convaincus qu'ils ne goûtent pas de nouveau les même vins.

17h27  En vérifiant la source du traffic sur mon blogue je suis tombé sur un nouveau blogue vin récemment apparu sur le site de Radio-Canada. Il s'agit du Blogue Vin de Radio-Canada animé par Ronald Georges. À suivre...


30 Novembre


16h30  Je suis tombé sur ce texte du blogue de Marc Chapleau par le biais d'un lien donné sur le forum Fouduvin. J'ai été surpris d'y lire que le père des matchs comparatifs du magazine Cellier de la SAQ considère que donner une note à un vin qu'on recommande, c'est l'équivalent de mettre ses culottes. Façon détournée de dire que les gens comme moi ne les mettent pas. Pourtant, je pensais que les différents matchs comparatifs de Cellier avaient plutôt démontré l'invalidité de ce système. Ces dégustations thématiques à l'aveugle, qui ne sont pas purement à l'aveugle car le thème de celles-ci est connu des dégustateurs, ont néanmoins produits leur lot de surprises au fil des ans. La notation y est toujours très resserrée, sans notes extrêmes, preuve que les juges qui y participent, s'ils ont mis leurs culottes, n'ont pas oublié de bien attacher leurs bretelles!...   


17 Novembre


21h35  Grâce à un lien sur le site Vin Québec, je suis tombé sur un article où Michel Bettane qualifie d'idiots les producteurs qui paient pour qu'un critique réputé juge leurs vins. C'est facile de jeter la pierre aux producteurs, mais à mon avis c'est un effet pervers de la notation des vins. Étant un observateur assidu de la scène vinicole chilienne, je peux régulièrement constater l'effet de la dictature des notes et des médailles pour ces producteurs venant d'un pays en déficit de prestige et d'image de marque. Comment peuvent-ils attirer rapidement l'attention du consommateur moyen qui ne sait pas lui-même où aller et qui aime se faire rassurer par les notes? Dans un monde où l'offre en vins de qualité n'a jamais été si grande, il est difficile d'émerger du lot, et l'attrait de la grosse note est tellement grand et peut avoir un tel impact économique, qu'il est facile de comprendre pourquoi certains succombent à la tentation, même si au fond c'est une loterie et que le résultat est loin d'être assuré. Finalement, l'indépendance entière est très rare dans le monde du journalisme vinicole. Il existe une hiérarchie et un certain code de conduite à suivre pour qui veut faire carrière dans ce milieu. Si quelqu'un décide de trop s'éloigner du discours généralement accepté, on le lui fera payer d'une manière ou d'une autre, et c'est sa crédibilité qui en sera affecté. De toute façon, pourquoi croyez-vous que les critiques réputés ne se soumettent jamais à l'épreuve de la notation des vins en pure aveugle? Bien sûr parce c'en serait rapidement fait de leur crédibilité, et si tous les critiques se soumettaient à un tel test périodique, ce serait aussi la fin des systèmes précis de notation. On arrêterait de prétendre qu'on peut résumer un vin de façon absolue et définitive dans un chiffre. Alors les producteurs ne se sentiraient plus forcés de payer en espérant obtenir ce fameux chiffre, passeport vers la légitimité et la prospérité et les consommateurs seraient forcés de lire les textes et surtout, ils devraient explorer par eux même en se fiant enfin à leur jugement.


16h25 Pour revenir sur le sujet des notes, une des meilleures façons de juger de son invalidité, à mon avis, est de très bien connaître les vins d'un pays ou d'une région. Je pense assez bien connaître les vins du Chili, et à chaque année je m'amuse à regarder la compilation des notes attribuées par Wine Spectator aux vins de ce pays, et à chaque année je n'en reviens pas de l'incohérence de cette liste par rapport à mon expérience avec ces vins. Je persiste à croire qu'il est impossible de bien juger chaque vin lors de large dégustations comparatives. À l'aveugle, le même dégustateur dégusterait de nouveau les mêmes vins le lendemain et les résultats seraient souvent très différents. Imaginez pour une dégustation un an plus tard, ou plus. Une vraie farce!  En plus de cela, il y a l'influence du goût personnel d'un dégustateur sur la note attribuée. Voici un exemple frappant de cette possible différence. D'abord, voici la note de dégustation de l'amant de la nature Jamie Goode pour le Chardonnay, Lot 5, Leyda, Vina Leyda:

Viña Leyda Lot 5 Chardonnay 2009 Leyda Valley
Southwest facing vineyard, made in an oxidative style without clearing the juice. No malolactic. Sophisticated with fine toast and nut notes on the nose, leading to a palate showing broad, nutty, spicy, toasty flavours. Rich but fresh. Rounded and harmonious, with some peach and pear notes and mineral finish. 94/100


Maintenant, quelle note pensez vous a été accordée par Wine Spectator à ce vin au style "oxydatif"? Un fabuleux 55!!!!

39 points de différence, rien que ça! Je n'ai pas goûté ce vin, mais la description de Jamie Goode, utilisant l'euphémisme "oxydatif", me laisse croire que WS a plutôt trouvé ce vin oxydé. C'est un exemple extrême, je l'avoue. Mais je suis sûr que bien des différence de 10 à 15 points s'expliquent simplement par le goût personnel, ou la façon dont le vin se présentait sur une bouteille un jour donné.


12h25  Plus de détails ici et ici sur la dernière dégustation organisée au Chili par Edurdo Chadwick et appelée "The aging potential challenge". Je suis content de voir qu'un des leaders de ce pays se réveille et commence à miser sur cet atout fortement sous-exploité. Pour ce qui est de la dégustation, le panel était composé de 16 "Masters of Wine". On ne donne les résultats que pour les 5 premiers vins du classement, on mentionne toutefois que même un Cabernet Sauvignon, Don Maximiano, 1983, a été apprécié. Ce qui concorde avec mon expérience voulant que même les rouges chiliens de prix abordable peuvent bien vieillir. Plus de 25 ans en bouteille pour un vin de moins de 20$, élaboré avant l'éveil qualitatif de ce pays. C'est un assez bon point de départ.


15 Novembre


Je n'ai pas l'esprit militant, probablement à cause d'un mélange de paresse et de cynisme. Je vais voter, c'est déjà ça. J'écris sur ce blogue par plaisir, non pas en pensant que ça pourra changer la moindre chose dans le monde du vin. Ceci dit, j'ai tellement répété ici que le système précis de notation du vin était invalide, que j'ai pris le temps de signer une pétition contre celui-ci, même si le résultat de cette action ne sera que symbolique. Il y a trop d'amateurs qui réclament des notes, et qui veulent acheter des vins bien notés, pour que ce système puisse être largement abandonné, sans compter les multiples gourous qui en tirent profit. Une grosse note c'est rassurant, même si ça ne veut rien dire tellement le vin n'est pas quelque chose de figé et définitif, et tellement la perception est variable entre individus. Ajoutez à cela les variations possibles entre les bouteilles d'un même vin et le compte est bon! Je sais que je me répète, mais il faut oublier les notes, oublier l'étiquette et aborder le vin qui est dans notre verre pour ce qu'il nous donne au moment de le boire. C'est la meilleure façon de lui rendre justice en évitant les préjugés, qu'ils soient positifs ou négatifs. C'est difficile, je le sais, mais selon moi il faut être dans cet état d'esprit. C'est une question de mentalité. Mais même si comme moi vous tentez d'ignorer ces fameuses notes, le problème le plus grave avec celles-ci, c'est le tort que ça cause aux bons vins mal notés, et bien sûr aux producteurs derrière ces vins. Si au contraire vous vous faites prendre avec un mauvais vin bien noté, j'ai un peu envie de dire tant mieux pour vous. Tant mieux pour la leçon qui pourra peut-être en être tirée. Finalement, l'appel à ne pas tenir compte des notes est positif, car c'est un appel à l'indépendance d'esprit et au plaisir de la découverte.


12 Novembre


01h24 Les arômes déviants reliés aux levures Brettanomyces sont une de mes marottes et aujourd'hui, par hasard, au fil de mes lectures sur la toile je suis tombé sur un article intéressant du Los Angeles Times à propos du cépage Mourvèdre. Un paragraphe a particulièrement retenu mon attention tellement il va à l'encontre de l'idée souvent entendue voulant que le Mourvèdre soit normalement marqué par des notes similaires aux arômes de Bretts, sans que ce ne soit dû à ces levures. Le commentaire à ce sujet vient de Justin Smith le winemaker de Saxum Vineyards, un producteur californien réputé. Je cite dans le texte:

"Mourvèdre has a really bad reputation in the States because so many Mediterranean wines have brett that people think they're synonymous," Smith says. "I don't know why it's so prone to brett, but whenever I leave a barrel of pure Mourvèdre, those are the only barrels that ever get brett. For so long, people thought that is the nature of Mourvèdre, it just has that animal stinkiness. I've never tasted a clean Mourvèdre that has that.""
Il est à noter que Saxum a une approche minimaliste de la vinification et ne colle ni ne filtre ses vins. C'est donc intéressant d'entendre une voix crédible allez à l'encontre du discours habituel sur ce sujet.


23 octobre


Il y a une promotion - 10% aujourd'hui à la SAQ sur tous les vins chiliens offerts par notre monopole. Deux vins qui étaient déjà l'objet d'une promotion en circulaire peuvent être achetés pour environ 15$, soit la Syrah, Max Reserva, 2009, Aconcagua, Vina Errazuriz et la Cabernet Sauvignon, 2009, Aconcagua, Vina Arboleda. Ce sont deux vins trop jeunes et trop boisés à mon goût actuellement, mais ce sont deux vins à l'excellent potentiel de garde. Rares sont les vins de 15$ ayant un potentiel de garde de 15 ans. Selon moi, aujourd'hui, ces deux vins font partie de ce club très sélect où le Chili excelle.


1h04 Pour répondre à la question que se pose ici Marc-André Gagnon de Vin Québec à propos de la toxicité des sulfites pour l'humain, voici une référence intéressante sur le sujet. On y indique que cette toxicité est comparable à celle du sel de cuisine (chlorure de sodium) et du bicarbonate de sodium (ce qu'on appelle communément "la petite vache" ici au Québec). Voici un extrait:

"Les sulfites sont utilisés dans de nombreux aliments – et certains médicaments- pour prévenir altérations microbiennes et/ou oxydations ; le vin constitue la principale source de SO2 dans l'alimentation « moyenne ».La toxicité aigüe définie par une DL.50 de 1,5 g/kg est à peu près identique à celle du sel de cuisine ou du bicarbonate de sodium, soit la catégorie des produits « dangereux – peu dangereux » selon la classification de l'OMS. La toxicité chronique est définie par la DJA de 0,35 mg/kg/jour, soit 24,5 mg/jour pour une personne de 70 kg, à partir d'un coefficient de sécurité de 100 qui, appliqué au sel de cuisine consommé sur la la base moyenne de 1-2 g/jour devrait montrer une inocuité totale à la dose de 70-140 g/jour ! 

Les effets physiologiques du SO2 se manifestent par la destruction de la thiamine vers pH 6,0 mais nulle au pH –2-3 de l'estomac, un effet mutagène à très forte concentration (64 g/L) seulement in vitro. Il n'a été observé aucun effet tératogène ou cancérigène et il y a diminution de l'activité allergisante de l'histamine. Le SO2 est rapidement détoxifié par transformation en sulfates. L'organisme métabolise chaque jour l'ensemble des composés soufrés (acides aminés…) pour une quantité équivalente à 1,5-2 g de SO2 /jour, sauf pour une personne sur 100000 carencée en sulfite-oxydases (Enquête Australie-Nouvelle Zélande). Le « mal de tête » souvent signalé n'est pas mis en évidence de façon significative par les enquêtes épidémiologiques (USA, Australie, Nouvelle Zélande)."
 

16 octobre


19h31 Article intéressant de François Chartier aujourd'hui sur Cyberpresse où il relate son expérience lors d'une dégustation de vins de Pinot Noir organisée par un regroupement d'importateurs québécois. Il est intéressant de voir comment le classement des vins différait entre dégustateurs. Ça explique probablement pourquoi les notes octroyées par les juges à ces vins étaient relativement basses. À chaque fois que je lis sur des expériences du genre, et ici ce n'était que du semi-aveugle, ça me conforte dans ma conviction voulant que la notation précise du vin est un exercice prétentieux et invalide. Je serais curieux de réunir les mêmes dégustateurs et de leur servir les mêmes vins une deuxième fois en leur demandant à nouveau de les classer et de les noter. Je suis sûr que les résultats seraient sensiblement différents, que ce soit pour un dégustateur en particulier, ou pour l'ensemble du jury.


15 octobre 


19h31   Article intéressant de Jancis Robinson sur la garde, le style et le prix des GCC de Bordeaux. Quand on dit qu'on vendange aujourd'hui des raisins plus matures, comment le nier quand on lit que la majorité des producteurs chaptalisaient au milieu des années 90 pour atteindre 12.5% d'alcool..


26 Septembre 2001


00h44 Sans faire insulte à mes lecteurs réguliers, je peux dire que j'ai parfois l'impression de prêcher dans le désert avec mon modeste blogue. Alors quand je tombe sur une opinion convergente, c'est un peu comme un oasis. Au fil de mes navigations sur la toile, en passant sur le site de Sammy Rabbat, je suis tombé sur une petite entrevue avec le chroniqueur vins de l'hebdomadaire Voir, Nick Hamilton. J'ai déjà eu la chance de rencontrer M. Hamilton, il y a un peu plus de deux ans, lors d'une dégustation Chili-Californie organisée par Bill Zacharkiw de The Gazette. J'avais fort apprécié ses propos ce soir-là, lors de discussions très intéressantes sur le monde du vin. Toujours est-il que dans cette entrevue M. Hamilton y va de propos très positifs sur le Chili et la Nouvelle-Zélande. Des propos qui se rapprochent de ceux que je tiens sur ce blogue.


RH. Quels sont les pays producteurs qui vous ont le plus impressionné?

NH. – C’est difficile parce qu’il y en a plusieurs. J’ai eu l’occasion dans les dernières années de voyager dans plusieurs pays producteurs tels que l’Afrique du Sud, le Chili, la Nouvelle Zélande, évidemment les vieux pays comme l’Italie, la France et l’Espagne aussi. Je dirai que ce sont les petits pays qui m’impressionnent surtout, parce qu’ils ont moins d’histoire, moins d’expérience mais on voit des produits qui sont vraiment impressionnants. Je pense entre autres au Chili, où j’étais allé l’année passée, où j’ai vu des choses que je ne m’attendais pas, des types de vins qu’on n’avait pas encore vu ici au Québec mais qui arrivent heureusement. Des vins qui viennent complètement du nord ou bien très au sud et non de cette bande centrale de vignobles autour de Santiago, qu’on connaît bien. En découvrant des vins des régions qui sont beaucoup plus au nord comme Elqui et Limari ou tout à fait dans le sud, comme Bio-bio ou Itata, j’ai été vraiment surpris de voir la diversité qu’il y avait et évidemment la qualité toujours à la hausse des vins dans ce pays. Même chose la Nouvelle Zélande où j’étais, il y a quelques années. Là aussi une grande diversité de produits, des vins de très bonne qualité. Un style qui plaît d’après-moi, et qui est à l’avantage du consommateur québécois. Le climat y est assez frais et puisque la Nouvelle Zélande est composée de deux îles, l’influence maritime est importante. On y trouve des vins qui sont assez frais, avec une bonne acidité, des vins fort agréables. Donc le Chili et la Nouvelle-Zélande sont peut-être les deux pays qui m’ont le plus impressionné dans les dernières années.


Des propos du genre sont malheureusement très rares dans la presse vinicole québécoise. C'est pourquoi je pensais qu'étant donné le centre d'intérêt de mon blogue, ça valait la peine de les rapporter sur celui-ci. C'est vraiment impressionnant et réconfortant pour moi de voir un chroniqueur vins généraliste comme M. Hamilton être capable de nommer du même souffle les régions de Elqui, Limari, Bio Bio et Itata avec leur bonne position géographique. La preuve qu'il y a des chroniqueurs ayant une large compétence dans notre belle province. Bravo!


24 Septembre


12h10 Article intéressant de Marc-André Gagnon sur Vin Québec. On se rejoint sur le fait que les notes sur 100 sont directement liées à la concentration et à la puissance, mais M. Gagnon néglige l'aspect identité, origine et renommée du producteur. À ce sujet, tous les résultats de dégustation à l'aveugle, mêlant des vins de renommée et prix variables, concordent. Dans ce type de dégustation on note bas pour éviter d'avoir l'air fou, et les surprises sont nombreuses. Il n'y a pas de critiques individuels qui dégustent en pure aveugle, car ils auraient tôt fait de perdre toute crédibilité. Aussi, il est impossible de bien juger un vin en dégustation rapide et comparative, comme les professionnels le font souvent. Je prêche peut-être pour ma paroisse, mais l'idéal demeure le commentaire étoffé issu d'une dégustation en isolé, sur une longue période, où on peut revenir souvent sur le vin et en suivre l'évolution dans le temps. Cette méthode n'est pas parfaite. Elle demande de l'honnêteté de la part de l'auteur, et comporte aussi sa part de subjectivité. Mais elle a le mérite de respecter le vin, en lui donnant l'attention qu'il mérite, et en ne le résumant pas à un chiffre. Il faut aussi de l'humilité chez l'auteur, car il me semble bien prétentieux de figer la valeur d'un vin dans un chiffre qui occultera tout ce qu'on aura pu en dire par ailleurs. Le chiffre ou les étoiles effacent les mots.


19 Septembre


14h10 Un article amusant de Jancis Robinson à propos de la montée du vin en Chine et de l'attrait des nouveaux riches chinois pour les noms prestigieux. Je dis amusant car je n'achête que très rarement ce type de vins. Mais pour les amateurs sérieux, cette situation est plutôt déprimante et choquante à la fois. Je compatis sincèrement, mais c'est l'effet pervers de la migration du vin vers la niche de produit de luxe.


15 Septembre


20h58  Suite aux commentaires de Paul dans cette rubrique . Je joins les liens de deux articles précédants sur le sujet de la garde des rouges chiliens tirés de ce blogue (lien 1 et lien 2) et le lien vers un article externe sur le sujet que j'avais déjà donné.


20h43  Pour débuter, je joins deux liens intéressants. Le premier à propos d'un producteur dont j'ai souvent vanté les mérites sur ce blogue. Il s'agit de Vina Leyda. Le leader du Chili pour les vins de climat frais de haute qualité vendus à prix abordables.

L'autre lien porte sur un article intéressant sur le Nouveau Chili.



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